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Les populations de la vallée  dans l’œil du cyclone

C’est un déluge implacable  qui poursuit sa folle  course et face auquel les populations  ne peuvent opposer aucune résistance.  Des localités entières sont cernées  par les eaux du fleuve faisant des dégâts immenses. L’irréparable  continue à  se produire malgré  les aides ,  interventions  et autres élans de solidarité . Le gouvernement  a déployé  un plan d’urgence  et mis en place des structures  de veille pour suivre la situation. Le débit des eaux a atteint  un pic jamais observé  pendant les périodes de lâcher d’eau  du barrage  de l’OMVS. Les inondations causées par la montée du niveau du fleuve Sénégal continuent de submerger les villages situés sur les rives du fleuve.Tous les endroits situés sur la bordure  du fleuve ont été submergées  par ces vagues d’eau qui emportent tout sur le passage.  Des milliers de personnes se retrouvent  dans abris et la situation  sanitaire et nutritionnelle s’empare pour des populations  qui n’ont que leurs yeux pour pleurer.  Certes l’OMVS  à lancé plusieurs bulletins d’alerte. Sans prendre des mesures précoces pour éviter un tel drame. Il fallait prévoir des digues se protection  pour contenir la force des eaux ou à renforcer  les infrastructures existantes . Dans cette catastrophe  seules les populations  payent lourdement la facture sur tous les plans. Qui va dédommager des  habitants  victimes de ce drame  et qui sont tenues par les autorités  locales  de responsables  en partie de ce  qui est arrivé en pareille situation.  Des témoignages  sur le terrain font   état d’une catastrophe  evaluable à plusieurs milliards d’ouguiyas causée  par la remontée  des eaux. De grandes agglomérations sont aujourd’hui menacées à l’instar de la ville de Boghe,  kaedi Rosso et des localités au Guidimakha,  tel Gouraye, Diaguilly  ….sans compter les villages situés  sur les bas-fonds  du wallo leurs  habitants  ont abandonnés.L’état doit lancer un appel à l’international pour sauver les populations  en détresse dans l’urgence sinon une partie du pays plongera dans l’abîme.

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